Les Bacchanales

Incarnation : 30/12/2021

Les Bacchanales

tw: alcool, drogues, hyper luxure

Comme un festival juste avant Carnaval, le célèbre Garrick Theater vous propose une fête en l'honneur du vin et de l'alcool : leurs Bacchanales modernes ! Soirée masquée, dégustation de vins et petites gourmandises, il y a ici de quoi passer un délicieux moment.
Cependant, n'oubliez pas que ce sont les Sons Of Empyree qui vous offre l'occasion de passer une aussi bonne soirée. Pensez donc à les remercier en participant aux petites animations : une libation, en versant un peu de votre vin dans la fontaine qui va petit à petit se colorer de rouge, un petit sacrifice en déposant un objet personnel sur l'autel (bouton, billet, bijoux, votre invitation), ou encore en embrassant les lèvre de la statuette en glace de Bacchus qui fond lentement mais surement à l'entrée.

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Bienvenue au premier event du forum ! Un petit événement d'intégration où votre but est de faire des rencontres, mais aussi découvrir la plume de vous nouveaux camarades de jeu. Il s'agit ici d'un petit bal masqué, où le vin et l'alcool coulent à flot, où votre personnage peut s'adonner à diverses activités divines et qui sait, peut-être se découvrir une âme de divinité.
Surtout, amusez vous !

Les règles

— Préférez les réponses courtes et rapides
— N'hésitez surtout pas à mettre en évidence les mots ou actions qui vous permettrons d'interagir avec les autres
— Si vous le souhaitez, vous pouvez mettre en spoiler un petit résumé de ce qu'il se passe dans votre rp.

Pour pimenter les choses
Pour celleux qui se sentent perdu·e·s ou seul·e·s, The Watcher vous proposent quelques personnages avec lesquels interagir, cependant, comprenez bien que les personnages ne sont que des tremplins pour pouvoir rencontrer d'autres joueurs ! @The Watcher ne répondra donc pas en prenant la voix du PNJ.

— Un monsieur au masque de loup traine dans un coin, les poches clairement pleines de drogue. Il est là pour faire affaire et vendre sa came.
— Une femme tente d'interagir avec tout le monde, le regard nerveux, une étrange amulette en main ; elle tente de la vendre, à un prix absolument dérisoire.
— Un gamin traine dans vos pattes, avec ses doigts de velours, il risque de partir avec quelques bijoux ou montres si vous ne faites pas attention.

Incarnation : 27/02/2022

Les Bacchanales

tw: alcool

Troisième mojito. Ou peut être quatrième ? Quatrième mojito. Nour mordille la paille en carton entre ses dents en se repassant mentalement tous les verres qu'elle s'est déjà enfilé dans la soirée, mais c'est compliqué avec tous les grammes d'alcool qu'elle a dans le sang. Pourtant, c'est censé être elle la boss des chiffres et des maths ! Mais là, mission impossible.

Autour d'elle, le monde s'agite très vite, les gens semblent courir partout tandis qu'elle a déjà un peu de mal à garder son verre à hauteur de sa bouche. Il faut qu'elle se mette en mouvement rapidement, sinon elle se connait : elle va s'écrouler dans un coin, vomir et s'endormir.

Violente remontada de sa volonté : Nour pose son verre sur une table, le reprend pour le finir et le pose de nouveau - vide - puis s'exclame : "Alors, il dort le DJ ? On veut du bon son ce soir !" L'alcool réchauffe ses muscles engourdis, le twerk n'est plus très loin, elle le sent. Il ne lui suffira que d'un compère ou deux pour que la machine se lance à plein régime.

Dieu est mort sur le dancefloor

TW : alcool

Duel de regards. Avec une statue de glace. Tu restes planté là comme un poteau à dévisager la sculpture qui, à cause de chaleur, a l'air de transpirer au moins autant que vous tous. Bah, tu transpirerais aussi, si t'étais l'un des éléments centraux d'une soirée, avec pour seul but de se faire embrasser par toutes les lèvres des invités, sans savoir où elles ont été traîné. Tu finis par lâcher l'affaire, perdre le duel de regards - c'est que ça aurait pris une chiée de temps d'attendre que les deux billes oculaires fondent finalement - et tu te diriges vers un endroit privilégié, un que tu connais bien et où on transpire moins : la table des boissons. Enfin, c'était sans compter sur l'un des serveurs qui a décidé de te faire un exposé d'œnologie. Et ici vous avez un château je-ne-sais-quoi de 1978... Bref t'as arrêté de l'écouter au bout de dix secondes de parlotte. Okay, eh, stop. Je t'arrête de suite. Il te regarde l'air abasourdi, pourtant fier du début de sa prestation, qu'il a sûrement du répéter un tas de fois avant ce soir. Mais tu vas briser ses rêves et ses convictions avec une analyse et un choix qui repose sur des fondements dignes d'un enfant de quatre ans.

J'vais prendre ça. Il a une jolie couleur rouge-moins-rouge que les autres mais un peu rose-mais-opaque-vers-le-bordeaux t'sais. Tu vois l'incompréhension, et tu lui accordes pas plus de temps, pas la peine de lui ouvrir une brèche pour qu'il t'explique pourquoi ce vin - au nom imprononçable sûrement - est un excellent choix avec son petit goût fruité de blablabla. Tu te promènes un peu, regarde autour de toi, écoute toutes les conversations sans aucune gêne. T'es venu pour les potins et l'alcool qui coule à flots, alors autant ne pas s'en cacher.

T'es néanmoins interpellé par la remarque d'une femme sur le côté - et la première chose que tu remarques, c'est le contenu de son verre - l'analyse du barman devenu professionnel malgré lui. Et tu vas lui donner une autre analyse qu'elle n'a même pas demandé. C'est pas pour te décevoir hein, mais y'a une statue de glace à l'entrée, du Château Latour ou Lafitte ou je sais pas quoi, et des masques. Je pense que ce sera plutôt registre classique des noces de figaro et encore - faudrait pas faire tournoyer trop vite ceux qui ont l'alcool qui montent vite. La moquette y survivrait pas. Un sourire aimable sous le masque, parce que le barman sait aussi reconnaître le ton des événements - même s'il vouvoie personne alors que c'est soirée huppée. Mais t'es pas infaillible, tu pourrais te tromper. Et puis, tu vas pas trop critiquer ; l'alcool est gratuit et à volonté.

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Amber coupe le serveur - ou l'expert en œnologie - qui veut lui faire la morale et chope un verre de vin après avoir tenu un duel de regards avec la statue de Bacchus. Pis il va parler à @Nour Hamdi pour répondre à sa remarque sur le DJ.

Euphorie dans un verre de Gin

TW : alcool, drogues

Amoureux des soirées, des valses musicales et des lumières qui explosent la rétine, des gens qui pulsent tout autour comme une fourmilière en plein essaim. Tu aimes quand ça bouge, quand c’est le bordel autant dans ta tête que tout autour, que le monde se découvre comme un univers chaotique dans lequel ton électron libre s’alimente du reste pour devenir réel, pour devenir tangible. C’est comme ça que tu vis les soirées, sous le feu des projecteurs sans être le protagoniste, les yeux miroitants de nouvelles images et de nouveaux spectres, avec l’esprit embrumé par de l’alcool ou des psychotropes qui étouffent les émotions, les sentiments, les sensations derrière ce flou gaussien qui n'a rien d’une illusion d’optique, d’un effet de style sur une image retouchée. Mais là, c’est différent ce soir, ça n’a rien des soirées que tu as l’habitude de côtoyé. Tu oserais dire qu’il y a un esprit guindé qui te donne un peu cette impression d’être un pingouin dans un enclos d’empereurs.

Pingouin quand même, peu à l’aise, surtout après que tu te sois plié à cette tradition, demande de la part des hôtes, vin versé dans une fontaine en guise d’hommages à ceux qui dédient cette soirée à vous autres. Tu t’es pas éternisé sur ce coin, retrouvant le bar et les substances colorées qui font miroiter tes papilles comme si c’était la seule chose qui importait. Ton regard se balade un peu, tu croises une crinière que tu reconnais, mais t’as un doute. Est-ce qu’il pourrait vraiment se retrouver à une soirée pareille ? Tu sais pas vraiment, alors tu te penches sur le barman pour un truc que tu sais. Ce truc-là, ouais, le truc multicolore, non je m’en fous de ce qu’il y a dedans, je veux juste boire ça, c’est joli. Meeeerci, bien. Un cocktail aux couleurs fluorescentes, tu sais pas trop ce qu’il y a dedans, mais tu te doutes bien que ça fera pas grande différence une fois les effets congédiés dans ton système. Hey, mec, tu veux quelque chose pour planer un peu ? Regard diffusé sur l’homme à tes côtés, tous les airs de dealer dans un seul regard, dans un seul mouvement du poignet sur une veste désormais ouverte. Tu devrais pas, t’es pas dans un endroit où tu peux te permettre, mais bon.

A quoi bon ? Surprends-moi. Et m’entubes pas sur la dose. Tu fouilles ta poche, dégaines le pourboire gagné dans la journée et le sachet de pilules est dans tes doigts. Personne viendra te faire la morale ce soir, de toute façon. Peu de gens savent à quel point tu verses dans les vices du type. La pilule passée sous la langue, une lampée du cocktail, et te voilà, fier admirateur de la soirée, des gens sur la piste de danse, d’une voix que tu reconnais au loin qui essaye d’incendier un DJ qui semble tout au plus médiocre. T’as plus qu’à attendre ton sort, en espérant que cette soirée s’anime un peu plus que ce qu’il se passe déjà, parce que pour l’heure, le DJ fait pas des miracles, et les substances sont trop longues pour te faire décoller.

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Cassandre se choppe un cocktail au bar, un truc avec tout plein de couleurs, pense remarquer Amber pas loin des boissons et Nour parce qu'elle parle au DJ, et il finit par se faire alpaguer par un dealer et comme il est un faible, il achète, uiuiui.

les bacchanales.

(tw) alcool, cigarettes Les verres se vident et les langues se dévident, les corps s’assemblent et se rassemblent sans chorégraphie aucune sinon celle des sens et des plaisirs. La sueur se colle sur les peaux et les sourires, sur les lèvres. Les fameuses bacchanales des fils de l’empyrée suspendent le temps lors d’une soirée magique où fusent rires enivrés et mouvements décadents pour se sentir encore plus vivants. La fragile silhouette de Thomasin, son visage maquillé de rides, sa main cramponnée à sa fidèle canne comme un‧e naufragé‧e à son débris de bois, vague parmi les invité‧e‧s, elleux-mêmes divaguant de part et d’autre, çà et là, comme s’iels ne pouvaient s’en empêcher, tou‧s‧tes prisonnier‧ère‧s de la perverse effervescence régnant dans ce théâtre de la fange et de l’absurde. Thomasin dépose son carton d’invitation sur l’autel destiné aux maître‧sse‧s de maison, une maigre offrande qui saura chatouiller leur orgueil gros comme Jupiter, avant de continuer son chemin sans prononcer la moindre parole — prière ou remerciement — vers l’autre bout de la salle, où trône le bar.

Iel n’ose croiser le regard d’aucun‧e des convives, de peur qu’on lae reconnaisse sous son masque. Peut-être est-ce une erreur que de prendre part à cette fête, peut-être signe-t-iel son arrêt de mort par sa seule présence, l’ombre des rôdeurs de la nuit dans son angle mort, mais bien là, toujours là, telle une épée de Damoclès sans cesse suspendue au-dessus de sa tête. Tout de même, iel ne peut se morfondre dans son appartement jusqu’à la fin de ses jours, ce n’est pas une vie digne d’être vécue, que l’on soit d’essence divine ou humaine. Alors iel court le risque de se mêler à ses semblables ne serait-ce que pendant une nuit, iel devient un visage parmi les visages, un macchabée parmi les macchabées. Un spectre sans nom. Iel s’adosse contre le comptoir non sans un soupir de soulagement. Ça l’a fatigué‧e de déambuler comme ça, sans s’arrêter, iel ne peut le nier. Iel s’allume une cigarette pour faire quelque chose de ses dix doigts, iel sait bien que c’est en train de lae tuer à petit feu, mais qu’importe, on crèvera tou‧s‧tes tôt ou tard, alors autant crever par la faute d’un truc qu’on aime bien.

Le gars juste à côté semble lui aussi partager cette mentalité, à en juger par ses paroles. L’air nonchalant, avec sa clope au bec qui lui donne l’air de sortir tout droit d’un vieux film en noir et blanc, iel coule un regard vers ce drôle d’énergumène… dont la tête et la voix titillent sa mémoire sans qu’iel ne se l’explique. Iel le dévisage pendant un bon moment — au diable la courtoisie la plus élémentaire — jusqu’à réprimer un rire furieux, l’ironie triomphant de la surprise. Iel le touche à l’épaule pour attirer son attention, puis se penche vers lui, sa voix s’élevant par-dessus la musique exaltée : Cassandre, mais quelle bonne surprise. Ravi‧e de voir que tu es encore en vie, après tout ce temps. Parce qu’il s’est éloigné d’ellui, Cassandre, après les funérailles du paternel, il n’a plus jugé utile de passer lui donner de ses nouvelles ou de prendre des siennes, comme auparavant. Il a disparu de la carte, lentement mais sûrement, et Dieu seul sait dans quelles sombres et sordides affaires s’est intriqué son con de fils.

Citation :: Thomasin erre parmi tout ce beau monde et dépose son carton d'invitation sur l'autel avant de rejoindre le bar où iel reconnaît gasp Cassandre. (Je m'étais dit que je ferais une réponse courte, je- )

ange morose

Incarnation : 03/03/2022

LES BACCHANALES

warning : alcool.

un battement d'aile dans la bruine vespérale de manhattan. sous l'approche de deux phares, balayant la brume tel des serpents de lumière, un croassement s'échappe, lointain, hagard. un écho. un reliquat. ceux d'âmes aussi vieilles que ce monde bâti dans la ruine de mémoires oubliées. porteur qui se soupçonne, ce soir, herjan en est. paré, moulé confortablement dans le cuir de sa veste. celle-là même qu'il aura délaisser à l'entrée du théâtre, pour l'apparat d'un costume noirâtre. le confort en moins, le bagout en plus. mais il faut croire qu'il s'en accommode de ses soirées. caméléon terrestre, qui se sens chez lui, partout où se pose l'ombre de ~~sa cape~~ ses pas.

une âme de plus qui se fond dans la foule. se mêlent aux rires ambiants, aux conversations, parfois, lorsque l'opportunité se présente, s'installe. des compliments qui s'échangent aussi vite que les coupes ramassées sur son passage, sur le plateau de quelconques serveurs.ses. presque il se coule, tout de noir vêtu, dans son élément. des traits familiers qu'il aperçoit au loin. énième écho. résonance. son verre entre ses mains. l'air d'une apparition, d'un spectre, là, avec ces quidams qui dansent et déambulent face à lui. rien que quelques secondes. le temps de disparaître à nouveau, de s'emmêler à ce bain nocturne. aux dires d'une femme agitant une curieuse amulette entre ses doigts.

Citation :: Herjan débarque en mode bg mystérieux à la soirée, il repère vite fait Cassandre au loin l'air de lui dire : tmtc bro. (odin is watching) et après il se dirige vers cette fameuse femme qui vend les dires de son amulette.

Incarnation : 06/03/2022

i feel so close to you right now.
si proche que charlie colle tout le monde, frôle les bourrés et marche sur les pieds. elle danse, s’agite les bras levés. le visage à demi masqué d’une colombe blanche au bec qui menace de piquer sa lèvre supérieure, l’oiseau vole dans la foule. sa robe sirène aux couleurs du vin voltige à chacun de ses pas chassés. ses plus belles parures font briller sa peau parsemée de tâches de rousseur ; sur les mains, bras, cou et oreilles. entièrement décorée, le sapin ailé déambule pour s’éclater.

un gamin mignon à croquer la regarde, un sourire plaqué sur son visage maquillé. il tente de la rejoindre, accordant ses petits pas aux siens. ensemble, ils dansent en riant jusqu’à ce qu’il s’éclipse avant le dernier refrain. charlie se sent soudainement légère. ce n’est pas l’alcool, elle n’a encore rien bu. elle dévisage ses poignets et tâte son cou. ses bijoux ont disparu. alors la colombe agite ses ailes et tente de se frayer un chemin aux travers des danseurs enjoués et des semi-drogués. le bruit de ses talons hauts qui s’accordent au rythme de la batterie. les battements de son cœur plus sourds que jamais.

résumé:

Incarnation : 27/02/2022

I'm just here for the free food

TW : alcool

Alcool et sang, sueur et chaos. Décadence par l'odeur alléchée, le museau a suivi à la trace les rires annonciateurs d'une fête à parasiter. S'invite dans la bergerie sans prévenir, parmi toutes ces bonne gens festivement habillés ; le loup juste là pour le gueuleton. Il déambule parmi la foule, se trouve si bien emmerdé par ces petites coupes de champagne trop fragiles pour sa poigne qu'il en a cassé une ou deux dans son sillage. Rabattu sur le bol à punch, louche dans une main, alcool lappé à même la cuillère faute de mieux. Frisson salvateur qui coule entre ses lèvres et sur son menton, fît des regards désapprobateurs des précieux dégoûtés par telle attitude. Il a soif et il a la dalle Lars, compte bien en profiter sans vergogne. Des petits fours attrapés par poignées, gueule cassée fendue de plaisir à l'explosion salée des œufs de truites contre son palais. Les tapenades d'olives par milliers, tous les fromages et les fruits assemblés en accord parfait ; son Ragnarök pour un buffet à volonté.

Accroché à la tablée, tête qui suit les serveurs et leurs plateaux apprêtés, doigts prédateurs des restes oubliés par les autres convives. Morceaux de pain aux céréales fourrés dans le fond de ses poches à les en faire craquer ; réserves pour plus tard. Bien satisfait, pique-assiette qu'il est, pas rassasié pour autant. Jamais rassasié. Yeux verts traquent de quoi satisfaire son autre faim, évalue le taux d'alcoolémie des plus gros molosses dans la foule. Une baston pour digérer, de quoi finir de crasher ce gala en bonne soirée. Mais c'est une petite frimousse humaine qui se cogne contre lui, minus dont les mains baladeuses ont renversé de ses poches ses précieuses réserves de gluten, croyant y trouver d'autres trésors. « Hey ! » Qu'il s'exclame en choppant le gamin par les épaules, le soulevant du sol de sa trop grande force et le secouant comme un prunier. Le mioche de se débattre en beuglant, coup de pied cueillant le monstre en pleine pomme. Il le lâche sous la surprise de la douleur, grognement menaçant tandis que la petite fouine s'échappe en se faufilant dans la foule. « C'est ça fuit sale petit rat ! La prochaine fois je t'étale sur mes toasts ! » Qu'il gueule, maturité à rivaliser avec l'âge du voleur disparu. Celui-ci en a fait tomber une partie de ses larcins, bijoux qui brillent au milieu des morceaux de pain. éparpillés. Il se penche pour les ramasser, talons qui manquent de lui écraser les doigts quand des plumes blanches viennent lui frôler le nez. Son esprit animal pense d'abord à un poulet dodu avant de constater le bout de femme affolé qui a manqué de le piétiner. « Tu danses pas droit. » Qu'il lui fait, bijoux et mie de pain entre les doigts alors qu'il se redresse de toute sa hauteur pour la toiser.

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Résumé : Il se pointe à la petite sauterie sans y être invité pour vider les réserves d'alcool et le buffet. Fait preuve de toute l'impolitesse et de la gloutonnerie dont il a le secret et fourre même des restes dans ses poches. A une rencontre avec le mioche voleur et craint pour ses bouts de pain. En fuyant le gosse lâche une partie de son larcin et Lars manque de se faire écraser les doigts par @Charlie Pissono.

Incarnation : 06/03/2022

mes bijoux de famille
tw : insulte.
concerné : @Lars Sørensen

danser droit. elle fait que ça, charlie, danser droit. la droiture est sa meilleure amie. ~~fraîche~~ franche dans les tribunaux des bourreaux des cœurs, elle défend corps et âme les victimes. les procès, elle les remporte tous. aucun n’a su refuser les charmes de la jeune femme. mais quand elle n’est pas accusée d’avoir fait profit de quelques nuits, charlie se retrouve dans un pétrin. elle savait depuis le début que venir à cette soirée pour ~~seulement~~ danser était une mauvaise idée. danser, danser, danser… pour au final se faire prendre ses magnifiques parures-qui trônent désormais entre les mains d’un homme qu’elle a failli écraser.

— voleur ! l’accuse-t-elle en redressant la tête, beaucoup plus grand qu’elle, malgré ses talons aiguilles. alors c’est toi, derrière ce gamin ? t’es le chef de ce petit morveux ? puis elle plonge ses doigts sans se faire prier dans la paume du « chef ». franchement, envoyer son fils pour venir me prendre mes bijoux, t’as pas honte, putain ? lorsque son regard à demi camouflé par son masque d’oiseau blanc, se pose sur le contenu qu’il possédait, elle crut pâlir en remarquant les morceaux de toasts mélanger à ses diamants. elle fit mine de vomir par une grimace qui crispe tous ses traits féminins. puis du bout de son index et de son pouce, elle se saisit d’une partie de ce qui lui était dû. elle y délaisse son bracelet refermant théâtralement les doigts de l’homme par dessus ses croûtons. — garde ça pour éduquer ton fils. elle l’observe, attendant de sa part un merci beaucoup. ses iris en profitèrent pour reluquer cette mâchoire carrée et ces étranges dents pointues un peu plus longues que la normale. une bête égarée, certainement. mais l’excuse de l’alcool ne l’arrange pas- elle était sobre. alors c’est qui ce gars à la gueule étrange ? elle fronce les sourcils et le fixe patientant après qu’il décline son identité.

résumé:

Incarnation : 12/03/2022

LES BACCHANALES
((outfit))

Le carton d'invitation serré entre ses phallanges baguées de pierres colorées, la dame à la longue chevelure couleur des blés semblait mal à l'aise, le regard fuyant et anxieuse au milieu de la foule chamarée. Comme perdue, stressée par l'ambiance festive mais désireuse tout de même de sortir de sa zone de confort, elle s'avançait en se frayant un chemin parmi les invités, attrapant à la volée une coupe de vin qu'elle s'empressa de conquérir aux bords de ses lippes rosées. Parmi les bacchanales, quelques visages familiers dont Thomasin avec qui elle cohabitait depuis plusieurs années maintenant. Peut-être était-ce à cause d'iel qu'elle était présente ou alors grâce à son pouvoir de persuasion. Un léger sourire pour Geras avant de finalement se rendre du côté de l'autel pour y déposer humblement un petit bouquet d'épis de blés séchés extirpé de son décolleté, étudiant les trésors déjà déposés avec curiosité tout en glissant la cancéreuse entre ses lèvres. Clope embrasée, elle s'empressa d'aller se réfugier dans un coin sombre, le myocarde battant face au stresse de se cogner à une vie qu'elle avait abandonné au profit du sacre de la nature ô combien vénéré.

Après avoir versé un peu de son nectar dans la fontaine en guise de libation, elle s'adossa contre un mur, le verre de rouge dans une main et la clope dans l'autre, spectatrice à l'ombre des festivités, elle fixait un point invisible en se demandant si parmi les convives se trouvaient quelques olympiens oubliés dont le fruit de ses entrailles divins qu'elle recherchait désespérément. Florentia n'appartenait pas à ce monde, dépassée par les événements mais paradoxalement fière d'elle d'avoir réussi à quitter son jardin botanique. Fumerolles expirées, elle attendait que quelque-chose daigne à se passer, qu'un évènement vienne enfin la sortir de sa routine pour lui donner l'illusion d'exister.

résumé:

» Proposer un mini-event ou une intrigue