ambroise owens

Incarnation : 08/03/2022

ambroise owens

tw : sang, drogues, décès, abandon, …

prénom et nom (ambroise). une mélodie tendre et mielleuse, pourtant porteuse du souvenir au goût rond et liquoreux d'une immortalité perdue. ça sonne comme une gemme, un élixir ou une fleur délicate… ça sonne comme quelque chose de précieux. et ça sonne faux. (owens). les paillettes dorées de la bourgeoisie, de l'aisance et de toutes ces joyeusetés qui l'ont bercé mais auxquelles il ne s'est jamais agrippé. au contraire, il a bien vite glissé loin de tout cela. surnom(s) (bro, framboise, ducon)… peu importe. s'il est assez éveillé, siffle et il se retournera. s'il ne l'est pas, une bonne claque et il est à toi. âge et lieu de naissance (quarante-et-un). l'esprit d'un adolescent endormi, l'éreintement d'un centenaire. le temps ne s'écoule plus sur sa peau sans y laisser de trace, mais à quoi bon s'y cramponner… (oxford, uk). ville prestigieuse dans laquelle il n'a jamais su briller. elle lui a laissé les souvenirs d'une vie paisible malgré une naissance chaotique dans la puanteur de la fange, un 30 juillet, et un accent typique british qui ressort quand il s'est trop enivré. pronom(s) (il, lui). comme une évidence sur laquelle il n'a jamais vraiment pris le temps de délibérer. mais il aime penser que rien n'est aussi tranché. statut civil & orientation sexuelle (père célibataire). cadeau d'une jeunesse sous les couleurs de l'excès et de la débauche, comme un éclair de lucidité dans sa vie sous anesthésie, elle a déjà l'âge de sa mère lorsque celle-ci est décédée. (cœur d'artichaut). il suffit parfois d'un regard, d'un sourire pour qu'il se rétame à nouveau le faciès contre le bitume et morde la poussière. le cœur élastique et pourfendu par la mort, il sait toutefois se relever et ne s'esbigne que trop aisément. (pansexuel). c'est avant tout l'être humain qu'il aime. il se laisse porter par le flux des songes, les bras tendus, tous⋅tes peuvent trouver le réconfort et l'euphorie d'une nuit dans son étreinte balsamique. profession (infirmier veilleur). un fantôme dans les couloirs de l'hôpital, silhouette léthargique qui somnole debout ; il est le dernier visage que les blessés voient avant de sombrer dans ses bras soporatifs. le silence après les cris, la fraîche brise qui dissout les douleurs après la piqûre, qui transforme les grimaces en un sourire niais et apaisé, l'impression de légèreté saupoudrée de beaux rêves, ou la promesse d'une mort fine et colorée. (dealer). il n'est jamais bien loin de toutes ces substances qu'il revendait plus jeune, même si maman lui a fait la bénédiction de lui trouver un job digne de ce nom à l'hôpital… son réseau ne s'est jamais vraiment dissous. une vieille habitude, une passion, une obsession qu'il n'a jamais tue. hypnotiques, stimulants, hallucinogènes, dissociatifs, opioïdes… les stupéfiants plein les poches, plein les veines et plein la tête, l'esprit en constante quête de rêves, de visions irréelles et de jeux subconscients. localisation (midtown). un loft au décor industriel et psychédélique, dans un entrepôt d'une vieille imprimerie, proche de the thrall. de hautes verrières, des murs de brique délavés, un vieux piano désaccordé dans le living, et assez de place pour laisser son esprit et sa solitude s'épandre. mais encore trop souvent il s'endort ailleurs, surtout chez thomasin, ayant gardé l'habitude d'y déposer sa fille et de s'endormir allègrement sur le canapé roche bobois. caractéristiques (sleepyhead). les traits tirés vers le bas, il bâille à s'en décrocher la mâchoire, les paupières suspendues, le regard amorphe. souvent, des fossés à la place des cernes, un sourire niais, anesthésié, sur le point de s'échouer dans le gouffre des rêves. divinité (morphée). un drôle de papillon qui sommeille au creux de sa conscience. dieu des songes, et le plus doux d'entre eux, comme un baume à l'âme, disent-ils. marchand de sable métamorphe à l'étreinte chaleureuse et bienveillante. une fée aux ailes de papillons, qui offre le sommeil et façonne les rêves à coup de pavot. stade de conscience & pouvoirs (quatrième stade). la collocation se concrétise, dans son cerveau tout flasque. il sait. cette petite voix endormie qui fredonne dans sa tête n'est pas le produit de son imagination déglinguée. il ne lui en veut pas, de prendre de la place et de lui faire oublier des choses. il oubliera de toute façon. et ils parviennent à s'entendre – il faut dire qu'ils se ressemblent un peu, les deux rêveurs loufoques. (les bras de morphée). qu'est-ce qu'on est bien, dans ses bras… une étreinte, un contact, et le voile entre rêves et réalité s'envole. le monde se dérobe sous les pieds, et les voilà en spiral dans un gouffre délicieux ou cauchemardesque. le plus beaux des voyages, ou le pire des trips, comme une confrontation direct avec le subconscient, sans filtre. un drôle de don qui lui permet parfois de s'immiscer dans les songes des assoupis, mais le contrôle ne lui échappe encore que trop souvent. attribut & anomalies anatomiques (ours en peluche). p'tit ange ou momo. véritable doudou, le morphée de morphée, ce n'est aux yeux de tous⋅tes qu'un vieux nounours pantouflard, ayant survécu à de nombreuses interventions chirurgicales, recousu maintes fois et quelques discrètes cicatrices, il a tout de même su garder son moelleux et son fluff à travers les âges et les voyages. la coupe un brin ébouriffée, le regard divergent et ce petit sourire ancré sur le museau, il le trimballe constamment avec lui depuis toujours, aussi loin que ses souvenirs puissent remonter.

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knocked out with the midas touch
a champion wearing golden gloves
got you punch drunk, seeing stars
little birdies singing "why'd ya fall so hard?"

001. bébé est né juste là, dans un appart miteux et puant de la banlieue d'oxford. la tête à même le sol, sur ce plancher irrégulier et grinçant, dans un mélange de différents fluides corporels plus ou moins odorants. la mère à peine assez consciente pour couper le cordon, elle a juste envie de dormir, de fixer le plafond en se laissant anesthésier par la dose qu'elle a pris juste avant que ce machin décide de pointer le bout de son nez. et de fumer une clope. qu'est-ce qu'il est bruyant, ce truc. quelques jours plus tard, elle l'amène à l'hôpital. mon bébé est malade, aidez-le. c'est qu'elle serait pas dénuée de toute conscience. bébé n'arrête pas de gigoter, il pleure constamment. maman avait déjà un regard pas très vifs, ce sont maintenant des abîmes qui assiègent ses globes évidés. quand les infirmier⋅ère⋅s lui demandent le nom de ce petit bout de chou, elle se rend compte qu'elle n'y a pas réfléchi. charles, improvise-t-elle. ça fait bon genre. comme le prince. il est tout tremblotant et transpirant, comme sa mère il est en manque. et parfois même il convulse. elle le remet entre leurs mains, et dès qu'iels ont tourné le dos, elle panique, prend la tangente et ne se retourne pas. non sans un pincement sur le cœur. et là voilà évanouie dans le ciel nocturne, à jamais. 002. dès la naissance, tombé bien bas. mais très vite atterri dans un petit cocon d'opulence et de préciosité. après le sevrage néonatal, bébé est sobre, remis sur ses quatre pattes, ses petits yeux de chérubins dodus et son sourire joufflu charment un couple de la haute qui, malgré les années passées, ne parvenait pas à enfanter. et voilà que le bambin atteint déjà l'acmé de sa gloire. on lui colle une cuillère en argent entre ses dents de lait. charles s'est dissous dans l'oubli, le voilà devenu ambroise, adopté par la noble famille owens. 003. des manières distinguées, ambroise se tient à table le dos droit, les coudes ramenés contre son flanc. les apparences ne sont qu'artifices. piano, violon, judo, boxe, français, espagnol. les semaines sont longues. il faut exceller à l'école, dans tous les domaines, pour devenir l'élite de la société, et surtout pour respecter les exigences du père et ne pas froisser son égo. vous serez de grands hommes, mes fils. la fierté dans le regard d'alfred. s'il savait. ambroise était bien loin de tout ce qu'il a un jour pu s'imaginer. s’il n’excelle dans aucun domaine, il offre une performance correcte en jouant du piano et du violon, ainsi qu'en arts visuels, en griffonnant de très jolis graffitis sur les murs de la ville. l'hiver, il n'est pas trop mauvais sur les pistes avec son snowboard, et ses talents de boxeur ou de judoka sont tout à fait passables, surtout lorsqu'il s'agit d'assommer les gens… mais jamais au-delà, et toujours très insuffisant aux yeux d'alfred, qui brûlent de déception. ses résultats scolaires frôlent la médiocrité et l'insuffisance. on ne veut pas y croire, alors un docteur finit par lui diagnostiquer un déficit de l'attention et lui prescrire des petites vitamines qu'il doit prendre tous les jours, alors qu'en réalité ambroise est un con, un simple cancre, un tire-au-flanc qui n’en fout pas une. pas bête, pas méchant, mais terriblement paresseux, et bien loin de transpirer cette passion qui habite son petit frère cassandre. à croire qu'il fait exprès de défier constamment les valeurs et l'autorité parentales. alors qu'il n'est que cette petite plume, dont la trajectoire dévie constamment, au moindre petit souffle.

you can send me dead flowers every morning
send me dead flowers by the mail
send me dead flowers to my wedding
and I won't forget to put roses on your grave

004. adolescent rebelle, et l'esprit de contradiction. révolte contre un père trop stricte. ça commence par faire le mur pour aller fumer des joints avec des amis, pour aller graffer sur les murs de la gare. puis ça trébuche dans des miasmes plus sordides, précipité par le départ de la belle petite famille aux états-unis, en 1997. comme un poignard en plein cœur de la part des darons, un acte de trahison… un adieu à son petit cocon de rébellion. arrivé là-bas, la chute est rapide. de nouvelles fréquentations, et pas des lumières. il se met à dealer lorsqu'il comprend que les comprimés que le médecin lui prescrit ne sont pas que des vitamines, et ne s'arrêtera malheureusement pas à ces simples stupéfiants qu'il peut se fournir légalement. 005. tout porte à croire qu'ambroise est un jeune homme hargneux, dissident et licencieux. il est certes inexorablement attiré par les inconvenances et par les substances illicites, mais il est en réalité une véritable petite boule d'amour, d'affection et de petites attentions. et c'est peut-être bien pour cela que ses parents ne l'ont pas encore mis à la porte. parce qu’il les embrasse tous les matins, qu’il les inonde de « je vous aime » tous niais même après une engueulade. parce qu’il n’oublie jamais les anniversaires ou l’occasion d’offrir un cadeau et d'aider la cuisinière à préparer le dîner. à cette période-là, son petit cœur s'est aussi amouraché d'une jeune femme, à l'esprit intoxiqué comme le sien. elle s'appelait sam. un amour fusionnel et viscéral, dopé aux hormones et aux vapeurs enivrantes. une relation aussi évidente que malsaine, qui le tirera dans les tréfonds de l'excès. 006. la majorité atteinte, une étrange fleur éclot dans son esprit, un parasite qui se met à répandre ses spores épouvantables. ambroise vacille constamment entre rêve et réalité. alors que le regard d'alfred s'inquiète, celui de thomasin semble compréhensif, comme s'iel savait ce qu'il arrivait à son fils. des visions d'horreur, silhouettes antiques et lieux infernaux, qui le feront un peu plus sombrer dans la décadence, dans des mœurs immoraux et des comportements à risque, consommant toujours un peu plus de psychotropes – les drogues dures, pour la première fois depuis sa naissance – pour taire ces apparitions cauchemardesques, ou du moins le pense-t-il. ambroise dévale une pente bien abrupte, et entraîne son jeune couple avec lui. ses accomplissements atteignent des sommets lors qu'elle tombe enceinte. entre crise de panique et se sentir pousser des ailes, il est perdu, inconscient. jeune et con. sans grande surprise, la nouvelle peine à passer auprès des parents. il se fait allègrement remettre en place. félicitation, c'est une petite fille. loin de la réalité, il peine à comprendre ce qu'il se passe. une ombre plane constamment au-dessus d'eux, leurs sourires restent fanés, et ce petit rayon de soleil qui vient de prendre vie aurait pu les éveiller, mais… toutes mes condoléances, amb'. il se souvient du froid au réveil, de ce corps rigide, figé dans le vide. un mauvais rêve, périclité par la réalité caustique. sam était parvenue à rester pratiquement sobre, jusqu'ici. elle a craqué, succombé aux vices et aux ombres qui la hantaient, à peine un mois après l'accouchement. un déclin rapide, fatal. tombée comme une mouche un peu trop gourmande. et le goût amer et ferreux d'un déjà-vu.

someday you will find me
caught beneath the landslide
in a champagne supernova in the sky

s'invite souvent aux bacchanales des nocturnal blooms | proche de memento mori | s'est fait des contacts chez les deepmaws lors de certains deals | lorgne sur les sons of empyree mais leur argent ne l'attire pas | désireux d'assommer les nightstalkers

007. la bonne claque, littérale et figurée. l'aide de ses parents sera inestimable, même si papa lui tourne le dos et maman ne le laissera pas se reposer sur ses lauriers. le petit ambroise à l'esprit aérien et aux pensées virevoltantes doit redescendre sur terre. assumer ses merdes. bienvenue dans le monde des adultes. forcé d'entreprendre une formation pour subvenir aux besoins de sa petite marmotte, car il est hors de question que papa maman lui viennent en aide à ce niveau-là, il dégotera un diplôme d'infirmier⋅ère, privilège accordé par la position qu'occupe thomasin au sein de l'hôpital. la voix de la facilité, comme toujours. encore hanté parfois par des visions hasardeuses et somme toute terrifiantes, surtout durant son sommeil la nuit, il décidera de travailler principalement durant les shifts nocturnes, pour ne pas avoir à dormir. personne n'aime travailler la nuit. lui, animal crépusculaire, il semble fait pour cela. et c'est mieux payé. la journée, les cernes se creusent, il s'occupe de la mouflette et somnole çà et là, dès que l'occasion se présente, l'horloge circadienne complètement bouleversée. parfois, il souhaiterais que la vie soit venue avec un mode d'emploi. mais il garde ce sourire indélébile, grâce à elle. 008. hors de la brume, mais pas totalement. bien sûr, ses talents de dealers ne sont pas passés à la trape, et jamais ils ne le seront. s'il consomme toujours quelques substances de temps à autre, c'est surtout à des fins qu'il aime qualifier de thérapeutiques. un petit quelque chose pour s'endormir quand il le faut, puis une autre pour se réveiller et assurer ses shifts… et c'est sans compter les soirées et la vie nocturne, évidemment. aujourd'hui, c'est principalement aux autres qu'il les refile, ne ratant jamais l'occasion d'opérer de petits deals… quelques affaires sombres qui lui permettent après quelques années d'amasser un petit pécule, bientôt suffisant pour qu'il parvienne à acheter le vieil entrepôt d'une ancienne imprimerie, juste en face de la salle de boxe qui lui sert de défouloir mais qui représente aussi le centre de son réseau. un vaste espace ouvert, assez de place pour laisser libre cours aux synesthésies de ses songes. papa poule et petite marmotte se lancent dans un long périple de rénovations pour transformer ces locaux industriels en un loft toujours ferreux, mais chaleureux, au charme urbain et quelque peu extravagant, entre deux séances de manucure et de barbie chez le coiffeur. un petit cocon familial qu'il avait le rêve de créer, comme une thérapie pour s’abluer des ombres qui se sont agrippées, les chasser par un nouveau départ. 009. toutes mes condoléances, amb'. encore. l'assassinat du pauvre alfred. qui aurait bien pu vouloir s'en prendre à papa ? d'abord, l'incompréhension totale, noyée dans le chagrin et le deuil. et le lent déclin de thomasin, devenu⋅e veuf⋅ve… la crainte, la menace, la haine dans son regard, celui de la puissance devenue proie. car c'était ellui, la cible, et alfred un simple dommage collatéral, comme ce dernier morceau de bidoche trop tendineux, que l'on balance aux molosses. c'est à ce moment-là qu'ambroise comprend les vérités que cachent ce monde, l'existence des divinités déchues et des créatures cadavériques… toutes ces fables que thomasin lui contait quand il était enfant ne sont pas que des mensonges, et la vérité est bien même plus crue que ces contes sanglants. le monde baigne dans la suie. les divinités fières, avides de l'adoration et de l'avilissement des mortels, recherchent leur puissance d'antan… et les êtres humains cherchent à se défendre et se sont noyés dans la haine. iels se font prédateur⋅rice⋅s, de fervent⋅e⋅s traqueur⋅euse⋅s un brin obsessionnel⋅le⋅s. ambroise aurait voulu resté en dehors de tout cela, et simplement aider maman à remonter la pente, à se sentir en sécurité. mais tout comme ellui, le parasite se propage dans sa petite caboche, à son insu et le voilà devenu une proie, lui aussi. d'abord les visions, les souvenirs d'une entité divine, cette étrange impression qu'un type accro aux pavots squatte une partie de ses méninges et grignote tous les jours un peu plus de place. puis cette petite voix qui se met à papillonner dans son esprit. coucou c'est morphée, ça swing ? une emprise inéluctable contre laquelle il n'a jamais réellement essayé de lutter, quelque douloureuse que soit son étreinte indesserable. à quoi bon, ce n'est pas un mauvais bougre, dans le fond. et que pourrait-il bien faire contre un dieu, après tout ? tout sympathique, insouciant et proche de ces mortels faibles et infortunés que morphée soit. 010. aujourd'hui, ambroise et morphée papillonnent dans manhattan, dans un monde translucide. tous deux incomplets, et pourtant ne formant qu'un. ils battent des ailes, répandent maladroitement leurs poudres au dessus de la foule, proche d'elle sans toutefois s'y mêler. ils touchent à tout, aux mœurs honorables et avilissantes, mais ne font souvent qu'effleurer. morphée est un dieu sans grande ambition, mais il reste un dieu, avide de satisfaire sa supériorité et d'oublier sa condition de réincarné, notamment lors des bacchanales organisées par les nocturnal blooms. comme dans le bon vieux temps, pour le peu de souvenirs qu'il a retrouvé. que les mortels tombent dans ses bras confortables et que leur rêves soient colorés, sensuels et extatiques. il continue de se battre, non plus qu'à la boxe mais également lors de combats clandestins, ses aptitudes de combats s'améliorant curieusement au fur et à mesure que les pouvoirs de morphée gagnent en contrôle et lui permettent, s'il a de la chance, d'envoyer ces messieurs⋅dames dans le monde des rêves. Mais il est peut-être trop endormi pour attirer le regard du clan gansevoort. et il est conscient qu'exposer sa supériorité divine représente un risque, aussi lui arrive-t-il cependant de prêter main forte au memento mori, à ces divinités traquées ou en plein éveil, mais dans un coin de sa caboche d'éclectique, il reste convaincu que le secret divin n'est pas la solution. il est toutefois trop flemmard pour entreprendre de faire changer les avis, si ce n'est peut-être aux travers des rêves qu'il instigue… Ils restent des esprits libres, sans allégeances, sans compte à rendre à qui que ce soit.

rêveur | flegmatique | espiègle | curieux | perspicace | enthousiaste | festif | aimable | dissipé | désorganisé | généreux | pantouflard | empathique | ouvert d'esprit | créatif | idéaliste | peu réaliste | indulgent | facétieux | un brin farfelu

000. ambroise, on dirait toujours qu'il vient de se réveiller, bâillant à s'en décrocher la mâchoire, les cheveux en pagaille. le regard posé, sans alerte, il sert momo, le petit ours en peluche qu'il trimballe partout, contre lui, l'ombre d'un sourire gravée sur ses lèvres. l'air un brin farfelu, ses pupilles brillent toujours d'une lueur à la fois enivrée et malicieuse ; même les yeux perdus dans le vide, il donne l'impression d'avoir une idée derrière la tête, l'air enfantin de se demander qu'elle est la prochaine connerie à faire, quelque chose de loufoque ou de drôle, plus pour divertir qu'emmerder le monde. car on le voit dans son regard, dans sa démarche, dans son sourire, qu'il ne ferait pas de mal à une mouche… quoique, elles sont chiantes, les mouches…

pseudo et/ou prénom ~~nick tamer~~ nérion. pronoms il, lui. âge vingt-quatre. tes tws on peut me parler de tout, juste de la bonne manière. tes habitudes et préférences de rp troisième personne, au présent la plupart du temps (je crois ?) ; je préfère quand on ne se prend pas (trop) la tête et qu'on s'amuse, sinon je n'ai pas vraiment de préférence, j'aime tout et je m'adapte à tout ! :) tu rps en buvant quoi ? ~~un bon lot de pression~~ café clope et vous connaissez le reste. fréquence de connexion et d'écriture en général je me connecte tous les jours à des moments random, et pour l'écriture, tout dépend de dame inspi (elle est capricieuse celle-là…) et du temps que j'ai… comment as-tu connu le forum ? c'est @thomasin gerrard qui m'a trainé par ici, et merci à toooi. une suggestion/un dernier mot vous êtes belleaux, changez pas. faceclaim boyd holbrook. crédits avatars&crap & vocivus

okay j'adore le titre, c'est sacrément bien trouvé?? et le personnage qui se dessine? morphée? boyd? le prénom? j'étais pas prêt à tant de perfection d'un seul coup. mort fine (ambroise). 3427067231

(bon, un peu déçu que tu sois pas parti sur crepitus, mais c'est bien ma seule plainte.)
et puis ta plume, on s'le cachera pas, un délice à savourer chaque fois, trop hâte d'en savoir plus sur framboise et de jouer notre lien. mort fine (ambroise). 357479937

bienvenue ducon et bon courage pour terminer ta fiche. mort fine (ambroise). 1391075213

le bro est iciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, avec un si joli prénom olala mort fine (ambroise). 3600642163

je ne connaissais pas la bouille, comme je t'avais dis, mais damn, je l'aime beaucoup mort fine (ambroise). 3600642163

(et puis cet avatar s'il vous plaît? Mais quelle beauté olalala)
ensuite, ta plume? ce que tu as écris est déjà si passionnant à lire et SI BEAU mort fine (ambroise). 3997832887

je suis absolument fan du petit point sur la divinité et comment est représenté Morphée mort fine (ambroise). 1756380782

bref, bon courage pour écrire ta fichouille, Framboise, hâte qu'on puisse jouer les frangins salade de fruits et hâte d'en lire plus omg mort fine (ambroise). 3600642163

et puis bienvenuuuue parmi nous mort fine (ambroise). 194713239

Bonjour, je m'incruste dans la réunion de famille pour souhaiter la bienvenue ~~et signifier que je convoite le statut de beau-frère~~ mort fine (ambroise). 1244309906

Morphée et ce prénom, trop cool je suis FAN mort fine (ambroise). 3600642163

Hâte de voir la suite, ça promet du très très lourd ! Bon courage pour la suite de ta fiche et bienvenue sur le forum mort fine (ambroise). 357479937

Incarnation : 28/02/2022

ah ouais non mais y a trop de fabulosité dans cette famille là, ça va plus
et puis ce titre? c'est si bien trouvé j'suis en admiration
PUIS LE PRENOMMMM
MORPHEEEE
ok c'est bon j'veux en savoir plus mort fine (ambroise). 194713239

va falloir nous donner notre dose de morphine du coup *mes blagues nulles et moi on sort*
bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche mort fine (ambroise). 1756380782

Incarnation : 08/03/2022

AH MAIS. cet accueil, mon pauvre cœur mort fine (ambroise). 3600642163

@thomasin gerrard » i knoooow, mais t'en fais pas, crepitus va débarquer un jour, z'êtes pas prêt⋅e⋅s mort fine (ambroise). 2891474348

mais OMG tes compliments, merci je meurs mort fine (ambroise). 4098436257

et oui, trop trop hâte qu'on rp ensemble mort fine (ambroise). 357479937

@cassandre owens » BRO. roh mais tes mots MAIS JE mort fine (ambroise). 2620240181

merci merci merci et trop hâte de faire notre super check secret et qu'on aille boire des bières mort fine (ambroise). 4222117202

@amber moor » UN BEAU-FRÈRE. mort fine (ambroise). 3233830440

oh oui si t'entres dans la famille il faut qu'on te trouve un surnom de fruit aussi mort fine (ambroise). 4222117202

merci merci pour ton accueil mort fine (ambroise). 1756380782

@madison clarke » TATA ERIS.

ces choix, omg nous faudra un lien ofc pas le choix mort fine (ambroise). 3233830440

merciiii

(et tkt pour les doses mort fine (ambroise). 2891474348

)

Incarnation : 06/03/2022

la famille owens s’agrandit zzzzzzzzzzz…..
ce début de fiche est déjà l,;lkxkc,vclxockkxlk, t. i need more pour satisfaire ma curiosité et mes yeux please.
mort fine (ambroise). 737518041

puis ce choix de divinité???? morphée????? hâte de taper des siestes collectives et de faire des voyages astrales. BYE
breffff, bienvenue à toi papillon mort fine (ambroise). 3182492560

Incarnation : 27/02/2022

Citation :: vous êtes belleaux, changez pas.

you too chaton mort fine (ambroise). 4194952194

merci à @Thomasin Gerrard de nous permettre de découvrir ta plume et B I E N V E N U E sur le fow'

Incarnation : 08/03/2022

@charlie pissono » oh lala aphrodite cette bôté mort fine (ambroise). 357479937

et je dis oui pour les siestes collectives ! morphée ne rêve que de ça mort fine (ambroise). 2620240181

merci à toi mort fine (ambroise). 357479937

@thomas macauley » oh mort fine (ambroise). 3704337025

merci toi

Incarnation : 27/02/2022

tu es validé·e !

bienvenue sur GWF !

Humble messager des divinités primordiales, j'ai le plaisir de t'annoncer que tu es officiellement validé·e. Je suis très heureux de pouvoir te compter dès à présent dans la grande famille de Gods Will Fall. Souviens-toi, nous n'avons ici qu'un seul mot d'ordre : le PLAISIR. Dio et moi comptons sur toi pour faire de ce dicton une réalité ! xoxo

» Le grand Pan est mort
» champagne supernova (ambroise ༺༻ morphée)