prénom et nom do you know the devil's name? sol, il a la rage aux dents, mais c'probablement pas un démon. y a la gueule d'ange qui s'bat en duel avec ses rires d'enfant terrible. y a ses sourires en coin et sa langue qui danse contre une gorge offerte. solal lakey, l'nom sur ses cartes de visites, écriture dorée sur fond noir, parce qu'il se prend pas pour d'la merde. arrogant enfant qui caresse d'une main trop tendre des corps offerts. des promesses jamais tenues, sauf si t'accroches ton petit doigt au sien. l'soleil s'est perdu, l'soleil est couché. si tu savais l'ironie, sol, mais c'con, tu parles pas français. surnom(s) insultes basiques, qui s'enchaînent, qui sortent en grognant, en rigolant. il a pas de vrai surnom, y a juste ce sol qui en est déjà un. l'reste se dessine selon les gens, jamais fixes, jamais longtemps.  âge et lieu de naissance lost boy, les traits qui gardent la jeunesse dans les sourires, l'temps qui passe mais ne l'arrête jamais. trente-cinq piges, la bouille et les rides qui cohabitent, l'corps qui se tend mais bien trop fougueux encore pour se laisser abattre. parfois on lui en donne vingt-cinq, parfois on lui en donne cinquante. il aime le doute, il aime les questions, il aime l'intérêt. nyc, sous l'soleil de juillet, l'été dans les veines, lion à la gueule ouverte. pronom(s) genres fluides, peu importe. non-binaire ou simplement dans son propre monde. il parce que le masculin est plus simple, parce qu'il a l'habitude - mais répond à tout parce qu'il ne se définit pas par un genre mais bien par une personnalité. parce que ce ne sont que des mots dans une langue qui en a bien d'autres. statut civil et orientation sexuelle sunshine lover, y a rien qui va dans sa vie, si ce n'est la séduction éternelle. il aime, sol, il aime fort, il aime tout le monde. le temps d'un nuit, le temps d'une chasse, le temps d'une vie. sol, il aime et il oublie. sol, il est l'romantique qui s'brise le coeur à l'infini. mais il s'pose jamais, sol, parce qu'il est papillon qui butine. sentiments sincères qui disparaissent quand on lui tourne le dos, l'amour de la désillusion qu'il s'inflige pour la vie. dragueur, qu'ils disent. il rit - si seulement. pansexuel, s'perd entre les bras, s'oublie entre les draps. visages qui captent ses yeux, rires, sourires, mains, voix, peaux, esprits. il ne s'arrête à rien, tombe amoureux, encore et encore. profession l'savoir qu'il accumulé, des années d'études, l'instinct jamais trompeur, savoir reconnaître ces symptômes invisibles. médecin, l'hôpital comme une évidence alors qu'il passe ses nuits affalé sur les lits inconfortables à attendre l'appel fatal d'un patient dans le besoin. dr. lakey, montera peut-être les échelons, le talent et l'ambition - mais l'esprit ailleurs. les passions qui se mêlent et il se perd. localisation heights' sides, la culture, la richesse. le luxe de celui qui vit bien haut, près du soleil. des vitres à la place des murs, verrière aux rayons brûlants sur sa peau dont il se nourrit, l'homme qui préférait le jour dans un monde où le pousse à toujours plus disposer de la nuit. caractéristiques tâche de naissance dans l'bas du dos, comme un coup de soleil qui refuse de s'effacer.

divinité/créature you're a god, lakey. y a les souvenirs qui s'brouillent, y a la bataille dans son esprit, y a lui. l'dieu, l'dieu vantard, l'dieu soleil. le dieu de la médecine, de l'art, de la jeunesse, divinité prophète, le dieu lycan. trop d'attributs pour un seul enfoiré. apollon, l'fils de zeus, l'jumeau d'artémis, celui qui riait trop, celui qui aimait trop, celui qui s'brûlait la peau à vouloir être quelqu'un alors qu'il aurait dû simplement arrêter d'foncer dans l'mur à l'infini. stade de conscience et/ou pouvoirs la vision qui se floute, les yeux qui brûlent. parfois, des flashbacks, parfois, rien du tout. des années que les maux de crâne lui font bouffer l'aspirine comme des bonbons. y a deux mondes dans sa tête, y a la vérité et y a lui. quatrième stade alors que ça se stabilise lentement, médecin qui découvre que parfois, la science n'explique pas tout. il a la gerbe quand dans le miroir, c'est un autre regarde qui l'fixe avec une arrogance digne de l'olympien qu'il était, qu'il redeviendra. en attendant, y a les soins sur le bout de ses doigts, l'soleil dans ses veines. et y a surtout le troisième oeil qui lui arrache l'esprit. prémonition plus que vision, l'instinct qui l'fait se baisser une seconde avant un mouvement brusque, la tête qui se lève avant qu'on ne toque à la porte, arrêter quelqu'un avant qu'il ne traverse une route. des couleurs, des impressions. les rêves qui murmurent. pas grand chose, de plus en plus, il en sait rien. attribut la flèche dorée, créée pour un arc en particulier, celle qui jamais ne manque. il paraît, il en sait rien. l'a vue une fois, dérobée sous ses yeux, aucun moyen de la retrouver. comme un fil qui l'y lie encore, l'esprit parfois obsédé par la vision en or, le besoin de l'avoir. un bout de lui, ailleurs.