tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )
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tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )
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Sujet : tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Dim 27 Fév - 22:11

Cassandre Owens

tw : drogues, violence, vulgarités, suicide

prénom et nom usage masculin d'un patronyme qui porte les stigmates du féminin, tu étais peut-être voué à naître sous l'adage d'un autre genre. ( Cassandre ), celle qui protège, aux consonnances antiques dans un prénom qui porte les stigmates d'une guerre princière. ( Owens ), aux consonnances de bonne famille quand il ne te reste en mémoire que des visages flous et des parchemins d'enfance perdus dans la miséricorde d'un temps révolu. surnom(s) ton prénom est long, beaucoup trop de lettres, beaucoup trop de syllabes, c'est pénible, toi-même tu en es conscient, c'est pour ça qu'il est raccourci, dans ce sobriquet de ( Cass ) qui se veut plus tranchant, plus piquant, presque plus amer. Parfois, des dérivés surviennent aussi, au cours de conversations, de disputes, d'embrouilles de rues ou de commérages de quartiers, ( SmartCass ) en fait parti. âge et lieu de naissance sur la carte d'identité que tu gardes sur toi un peu comme un lucky charm passé d'âge plus que comme obligation d'être dans les règles, tu es né le ( 27 août 1982 ), petite vierge de fin d'été, te conférant doucement l'arrivée de la quarantaine au prix de quelques mois encore, le ( 39 ans ) résonnant en plein milieu de l'été à venir. pour ce qui est de ton lieu de naissance, tu as des souvenirs vagues de patinoires gelées et de maisons colorées, ton papier certifiant une naissance à ( Oxford, en Angleterre ), te conférant alors une double nationalité avec les Etats-Unis où tu vis depuis bien trop longtemps. pronom(s) jamais trop les questions ne se sont bousculées dans ton crâne à ce sujet. tu suis ton genre de naissance, réponds à ( il ) sans te poser de questions. statut civil et orientation sexuelle si ton signe est en vierge, ton ( cœur est en balance ), sentiments incontrôlables qui se heurtent à la cage thoracique étroite, au souffle coupé et aux envies paradoxales, entre l'envie d'embrasser et celle de mettre une droite. toutefois, tu n'as jamais questionné les diverses passions que tu pouvais ressentir, pour un genre comme l'autre, ( pansexuel ) libéré sur tes désirs et envies. néanmoins, ce sont les gens que tu aimes plus que les affinités de genre ; toi et ton petit cœur tout mou derrière une façade béton armé. profession Volant entre les doigts, à écouter les histoires d'un dernier client à quatre du mat' quand les lumières sont éteintes, tu t'illustres comme ( chauffeur privé, taximan ) sur les routes serpentines, de jour comme de nuit, aux horaires modulables, à récupérer autant les cadavres de fin de soirée que les jeunes impériaux de Wall Street pour quelques billets crachés. ( coursier des lunes ), pour un gang comme pour un autre, pour un être ou une institution, offrant tes services au plus offrant, pour seulement pouvoir te payer le luxe d'oublier les cauchemars d'une période révolue. Période où tu glissais à deux sur la glace, affrontait les compétitions les plus amères sous fond de concerto classique, de violons et de chants nacrés d'amour. Danseur presque étoilé, patineur en couple, sacré sur la glace, champion aux multiples podiums si tu en crois souvenirs dispersés dans ton appartement bordélique. aujourd'hui, ce sont les rues, les ruelles, les avenues, les boulevards qui sont sous tes doigts, seul petit joyau de ta mémoire lacunaire. localisation petit appartement rénové à la sueur de ton front dans les entrailles funky de ( Midtown ), un tout petit coin, qui te suffit bien et duquel tu peux observer les lueurs d'ailleurs. caractéristiques grande perche du haut de ton ( mètre quatre-vingt-cinq ), musculature agile et entretenue sur un petit ( quatre-ving kilos ), tu passes pas inaperçu et pourtant, tu disparais comme une ombre avec tes cheveux noirs. ce sont tes yeux, ( noir charbon ), la pupille à peine distinguable dans la couleur encre de l'iris, difficiles à sonder, difficile à lire, qui font ta particularité, comme ce ( petit grain de beauté ) sous l'oeil droit qui fait ton charme. petit tatouage d'un ( crâne de corbeau ) scindé d'une dague qui marque le creux de tes omoplates à l'encre noire, de ce motif que tu as choisi inconsciemment il y a bientôt deux ans maintenant.

divinité/créature associé à la créature nordique ( Muninn ) qui est elle-même une personnification de la pensée et de la mémoire, corbeau d'Odin, réincarné avec cette perte de mémoire qui dénature ta réalité entière, t'empêchant de ne serait-ce qu'être au courant de ta nature. même les divers éléments associés à cette réincarnation sont oubliés, floutés constamment, et chaque chose étrange apparaissant dans ta vie est passée sous le signe d'une substance que tu as prise et qui a roulé sous ta langue.  stade de conscience et/ou pouvoirs impliqué de tous les atours et aléas d'une créature, malgré ton inconscience de cet état de fait simplement par oubli et déni de ce qu'il s'est passé, de ton propre décès, tu portes toutefois en toi une ( empathie suprême ) ; pouvoir qui te donne les cartes en main pour comprendre les gens que tu rencontres. Facilité à lire les autres quand tu es incapable de te lire toi-même, éponge à émotions des autres, à te les approprier parfois quand elles sont elles-mêmes extrêmes.  attributs/anomalies anatomiques comme toutes créatures, malgré ton pragmatisme en la matière et que tu rejettes chaque chose apparente à cette nature divine sur une substance qui te fait bien trop halluciner, tu ne peux nier que des éléments piquent un peu ta curiosité. Comme ce besoin d'écouter les autres, une faim conceptualisée par les ( histoires des autres ). Au-delà d'être juste une épaule solide sur laquelle souffler problèmes et histoires amusantes, tu te nourris de ces histoires pour éviter que les anomalies ne ressurgissent. Plumes noires autour des yeux, comme un maquillage complexe appliqué en surface de la peau, de même que des tâches noires le long des doigts, remontant jusqu'au coude lorsque la faim est trop grande. ton métier, en ce sens, t'offre cette possibilité de n'être que rarement affamé, rarement avide.

hey, mom, did you already dream that you died? on pose pas ce genre de questions à ses parents usuellement. mais t’avais rien d’usuel, toi.


001. la tête en arrière et les jambes ballantes de l’autre côté du lit, il s’imagine rêveur, destiné à des aventures plus grandes sans en avoir la prétention, comme dans les livres qui couvrent ses étagères ou sa table basse. il voulait être une rockstar ou un pirate, il trouve qu'il s'en sort plutôt pas mal. petite teigne beaucoup trop têtu, piaille comme un oisillon mais envoie toujours un coup quand on le chauffe de trop. 002. mémoire artificielle, destinée à des détails plus qu’à des grandes lignes, se rappelle parfois des prénoms, jamais des noms, sauf quelques rares élus, imagine des moyens mnémotechniques, gymnastique mentale qui épuise. le stockage s'épuise, il continue retrouve parfois des bribes avec les habitués. la mémoire corporelle prends le relai, te donne des éléments que tu ne pensais pas avoir, comme cette connaissance parfaite de la langue des signes, et d'autres mouvements si naturels sans que tu en aies conscience. 003. gourmand d’histoires comme de nourriture, même s’il fera passer la nourriture de ses animaux avant la sienne. curieuse empathie plus proche des animaux que des humains, il porte un respect sans faille à ses compagnons d'aventure, les bichonne comme jamais il n'aurait imaginé le faire. il mange de tout, ne fait pas le difficile, même s'il aime le sucre comme un addict. 004. s’imagine détective dans une autre vie, à croiser les histoires des uns et des autres pour élucider un crime qui n’existe pas, qui s’invente tout seul dans sa tête. il se voit dans son taxi, une clope au bec, à discuter affaires avec un coéquipier imaginaire, un carnet posé quelque part, rapporte des notes et des hypothèses du bout des lèvres. 005. langue pendue, il piaille et braille plus qu’il ne parle, chante parfois les soirs de pluie dans un bar perdu avec l’option karaoké et scène libre, sous les néons rouges et les bières fraiches, un whisky par là, une chanson par ici. s'invente rockstar d'un soir sur un riff d'ACDC, lâche des clins d'œil sur une foule qui ne le connaît pas. il se fiche du ridicule, il sait même pas si sa voix atteint vraiment les graves. 006. possède papa et maman dans son répertoire, ne se souvient pas vraiment d’eux, que quelques conversations fuitées sur une crise, sur un moment d'absence, fuit les appels comme la peste depuis qu’il a décroché une fois, a posé les mauvaises questions. il ne veut pas inquiéter ces inconnus qui prennent forme de géniteurs dans un répertoire singulier. il a peur du froid qui vient de la dernière relation qui reste, de la mère sous le prénom dont tu te souviens, Thomasin.

rockstar en herbe relation familiale difficile addict au sucre fumeur - fume trop amateur de bières et de whisky voudrait être détective vulgaire - toujours une insulte en fin de phrase raffole de la tourne au poulet tactile en tout temps, encore plus quand l'alcool joue ses effets, séducteur et flirt perpétuel nocturne


it's curious. it's like you're floating and then- it's like there is no air left in the world and you're- g a s p i n g for it. pourquoi tu rêves pas de licornes et de dinosaures, toi?


007. fascination curieuse pour la préhistoire, pour les animaux géants qui composaient le globe avant l'humanité. son préféré c'est le diplodocus et il en a même une petite peluche, souvenir d'une visite dans un musée d'histoire naturelle, visite sur un coup de tête, jamais regretté, toujours fasciné. 008. proche des animaux, c'est les seuls être pour qui il ne ressent pas les émotions par foule de vagues impétueuses comme pour les humains. il ressent juste leur empathie, se baigne de la leur. noie son chagrin dans le poil de patate, petit ragdoll aux yeux bleus, et épuise son endurance avec beefcake, border collie au poil noir & blanc, tous deux récupérés dans un refuge. curieusement ponctuel sur les heures pour faire sortir son chien, toujours à s'amuser d'un jogging dans le parc d'à côté. 009. les zoos sont curieusement ses lieux favoris, perdus entre les animaux et les humains, à écouter et à prendre des autres sans le vouloir, il pourrait passer sa vie là-bas. mais sa vie est ailleurs. alors il s'arrête tous les samedis matin, entre deux courses, pour faire coucou au lion dans sa cage, et lézarder devant les terrariums reptiliens. 010. goûts musicaux éclectiques, entre les nouveautés jouant sur les vibrations de basses sourdes et compositions électroniques, et le rock'n'roll d'avant qui balance dans la stéréo de sa voiture. tu tapotes du pied, balance ta tête. tu es peut-être pas le meilleur danseur, mais tu as le rythme dans la peau, dans les yeux. 011. loin de s'en prendre au premier venu, il est pourtant le premier à faire office de cette musculature entretenue pour faire rugir les poings et ravaler les mots de celui qui essayera l'offense sur lui. bon bagarreur, joue sur son endurance pour tenir le coup, il sait pourtant qu'il est pas le meilleur de sa catégorie, et ça lui va.

bagarreur - possède revolver et poing américain, couteaux écoute du rock'n'roll, de la techno, tout ce qui passe à la radio, coup de coeur musicaux fasciné par les dinosaures et les animaux sportif, entretient sa forme connait les rues comme sa poche sang-chaud et impulsif peut entretenir une conversation en italien collectionne les vinyles


do you think people will forget me? if I’m gone like- one of this nightmare happens, do you think I’ll be forgotten? pourquoi tu parles beaucoup mais tu ne dis  r i e n  ?


012. ce n’est pas qu’il oublie les gens, c’est que les informations s’échappent. comme un mur dans lequel il y a des fissures, l’eau s’engouffre et s’avance, avant de se retirer avec la lune, les souvenirs avec. il n’oublie pas vraiment, il ne stocke pas, il n’arrive pas à mémoriser les visages parfaitement, quelques élus font l’impair de l’exception, ceux qu’il voit souvent - les habitués au sortilège, à sa négligence, ceux qui mettent ça sur le compte de la malchance, la maladresse. 013. pourtant, il n’est pas maladroit, parfois avec les mots, toujours un peu perplexe à leur utilisation - lui qui pensait, avant dans ces confins dont il ne se souvient que par flashs, dont il n’avait pas l’utilité - mais pas avec son corps. il danse, il skate, il fait le cabriole sur les toits, sur les pavés, il est pas maladroit. avec les gens et les mots, peut-être, pas avec le reste. 014. parfois perdu dans sa tête, au milieu des étoiles d’un quartier lunaire ancré dans son encéphale sensible, il rumine, il réfléchit, il pense trop, analyse beaucoup, décortique les émotions qu’il absorbe comme une éponge. il essaye, parfois, de taire les pensées, le cerveau qui flanche, les émotions en branle. il en parfois marre, de ressentir autant, de ressentir les autres. 015. fasciné par l’eau, par la glace, par tous ses éléments contraires qui lui inspirent de longues nuits sur le bord des quais, avec des écouteurs dans les oreilles, à chercher l’univers dans le reflet de la lune. il aimerait bien voir la plage, même s'il n'aime pas la chaleur. les palmiers et les cocktails sur plage. 016. et parfois, il danse, jusqu’au bout de la nuit, avale deux pilules, trois cigarettes sur le bord des lèvres, quelques rasades d’ambrée, et un peu d’amour dans les reins. il cherche à être vu sous les spotlights, à être entendu dans le silence, le temps de quelques minutes, d’une soirée qui finira par s’éteindre.

éponge d'émotions bon danseur rêve de vacances à la plage quelques économies de son temps d'athlète préfère le froid et les étreintes fait du skate et du roller un peu trop accro' aux drogues a toujours de la bière au frigo, et un peu plus à manger que pour une personne


it's annoying. I can't remember, sometimes I forget big things and, it  h u r t s. tu superposes ta mémoire à l'idée que les gens t'oublient, c'est pour ça que ça fait mal.


017. parfois, la langue se délie, l’accent revient, le british fantastique qui pimente les lèvres, fait rougir quelques amants d’un soir, fait rire quelques habitués trop accoutumés à son mâchage américain de mots. c’est bizarre, ça arrive. il s’en amuse, fait pas gaffe, se dit que c’est une autre bizarrerie du caméléon qu’il incarne dans sa voiture volante. 018. curieux de tout, comme une tumeur qui s’accroche à chaque nouveauté, essaye d’imprimer les idéaux, fait de petites choses des obsessions temporaires, comme un nouveau dessin animé qui passe à la télévision. 019. pas la technologie, toutefois. il a du mal, comme un trop vieil homme dans un corps trop jeune, il a du mal, il comprends pas toujours, se bat parfois avec le clavier de son ordinateur en essayant de piger pourquoi l’erreur continue d’apparaître. le téléphone, ça va, l’ordinateur, c’est déjà un pas qui commence à lui taper sur les nerfs. et il s’énerve vite, pas colérique mais le sang chaud, bouillant, s’emporte pour pas grand chose. il mettra ça sur le compte de la fatigue, de cette sensibilité exacerbée, cette empathie qui le gêne. 020. et puis, il y a ça. dont il ne se souvient pas, cette tentative sur les quais, dans une ruelle perdue entre les poubelles, la tête qui flanche et la peau noircie, le goût âpre sur les lèvres et l’impression de tomber au fond. il se souvient des émotions, pas du reste. comme si une partie de lui était resté dans cette ruelle qu’il évite désormais comme la peste.

déni constant de sa condition, des dieux accent british de temps en temps rêves de fin du monde boomer be like adore les textos, cependant obsessif pour des petites choses, temporaires toujours un paquet de chips sur la table toujours une cigarette entre les lèvres


and sometimes, it comes back, and it feels like the  w o r s t  thing I’ve ever felt. deux coeurs pour le prix d’un, on croirait à une mauvaise blague, mais toi tu vis avec les autres


021. from scratch ; forcé à tout refaire, comme une renaissance sans le vouloir. ses yeux, quand ils se sont rouverts sur cette ruelle, qu’il a dû trouver un toit où dormir, il n’y avait plus rien. il y avait un appartement miséreux, celui là qu’il a abandonné quelques jours plus tard, il n’y trouvait plus rien. tout était dans un carton, tout était empaqueté et il ne restait plus que la complainte nocturne d’un homme qui déambule sans trop savoir où il va. from scratch, existence composée depuis cinq ans à être rendue vivable, agréable même, à faire d’un lieu son chez soi, à faire quelque chose de la chance donnée, sans se rendre compte qu’il s’agissait bien d’une. 022. souvent à lorgner les patinoires ambulantes de fin d’année, souvent à observer celles qui sont toujours là sans oser revenir sur la glace - rien que le terme, revenir, semble bizarre. il l’a fait une fois, a chaussé des patins, posé pied sur la glace, et s’est senti envahi par quelque chose qu’il ne connaissait pas. des souvenirs sous formes de flashs, de vibrations, de mots envolés dans l’air, l’impression d’étouffer. il réessaye parfois, ne se contente pas d’observer de loin, laisse glisser les patins avec agilité, se laisse bercer. 023. il dira que c’est parce qu’il a connu la rue et les degrés négatifs qu’il préfère le froid, qu’il a cette affinité pour les températures descendantes, que le soleil quand il est trop chaud l’agace. il trouvera plein de subterfuges pour dire qu’il préfère le froid au trop chaud. peut-être parce qu’il préfère se réchauffer dans une étreinte plutôt que de mourir sous les rayons trop brûlants d’un soleil capricieux. 024. il aime. il crush. tombe parfois croc’love le temps d’une soirée, mais jamais les sentiments ne se traînent, ne s’éternisent, sauf pour un seul dont la confusion laisse à voir un paradoxe avec lequel il joue sans les règles. mais il aime, il aime fort, avec des sentiments plus gros que sa personne, qui sont parfois étouffants, et avec lesquels il ne sait composer sans faire fausse note. il sait pas s’il est un bon humain. 025. à des heures indécentes, la télévision allumée comme phare au milieu de la nuit noire, il regarde les compétitions, rêve de ces flashbacks qui ne reviennent pas, de cette vie volée d'avant, parcoure les documentaires animaliers, s'insurge devant les télé-réalités ridicules, un bol de céréales pour sa dent sucrée devant les dessins animés, se passionne des crimes comme un détective en herbe. produit télévision, consommateur avisé.

télévision allumée, consommateur de produits dérivés petit coeur tout mou derrière une armure béton armée très mauvais en math, très bon en géographie quelques livres de philosophie dans l'étagère adore les histoires paranormales dessine pas mieux qu'un stickman possède une guitare, n'y a jamais touché consommateur de jeux mobiles


so this is it. this is life. keep standing on its two legs and keep moving   f o r w a r d  something unknown?le train-train t'embêtes pas, tu chantes à tue-tête de toute façon.


026. la routine s'installe derrière le volant, la tête balance toujours d'un côté comme de l'autre, le prix de la musique ou le prix des contes. tu sais pas trop combien de temps tu tiendras sur ce job, mais tu continueras jusqu'à ce que ton coeur s'en lasse. 027. jean déchiré et veste en cuir, patchs colorés de différentes marques, différentes passions, petit astronaute sur le haut de l'épaule et t-shirt délavé, se sent maladroitement peu à l'aise dans des costumes, se préfère aux styles grunge de l'underground. 028. influençable, crois parfois tout ce qu'on lui dit par curiosité ; grand esprit cloisonné dans un crâne trop petit, avec pleins d'idées et de la curiosité pour tout le monde, pour tout malgré tout. il ronchonne à peine quand on commence à lui parler d'astrologie même quand il affirme qu'il y croit pas - il regarde secrètement les horoscopes sur les journaux qui traînent. 029. s'aime indépendant, soucieux des détails ; il s'amuse parfois de tutos DIY pour savoir faire les choses par lui-même, collectionne les petites babioles sans intérêt, les réutilise pour une petite maison d'oiseaux à déposer dans un parc à côté de chez lui. aime être occupé, toujours faire quelque chose, pas trop se plonger dans les pensées, dans les émotions à décortiquer. 030. et puis il écoute. il écoute tant. il aime écouter, il aime entendre les autres, les histoires, les anecdotes, les petits mots, il ne connaît pas la faim de ce côté là. quand son estomac crie parfois famine d’une journée sans pourboires, sa tête est toujours bien en place, fourmille d’histoires qui suffisent à rendre sa journée meilleure. il aime qu’on lui parle, crave pour des mots, même quand il les oublie. voudrait être écrivain pour tout coucher sur le papier, pour ne rien oublier. mais telle est sa malédiction : tout finit par s’éteindre.

aime les fêtes foraines et les parcs d'attractions croit pas en l'astrologie mais regarde son horoscope manuel, s'amuse de DIY adore les hauteurs facilement en colère, mais en fait des caisses fatigué, souvent sait toujours patiné, a juste peur de la patinoire son fruit préféré est la cerise


pseudo et/ou prénom tiababylo, ou tia, comme ça vous arrange! pronoms féminin, elle ; she/her. âge le petit quart de siècle, mesdames et messieurs! tes tws homophobie extrême (utilisation de slang homophobes, notamment), viol/abus sexuels (description graphique). tes habitudes et préférences de rp fast & furious de la réponse, ambivalente sur les mots même si j’ai tendance à beaucoup beaucoup trop écrire des pavés. tu rps en buvant quoi ? mes propres larmes face aux feels et au drama. fréquence de connexion et d'écriture aussi présente que possible ! comment as-tu connu le forum ? via tumblr! une suggestion/un dernier mot jevouzem  tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  194713239  tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3600642163  faceclaim Ben Barnes, le bébou de tous les bébous. crédits tiababylo (myself donc).




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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Dim 27 Fév - 22:12

 

the nightmares haven't stopped

I'm not sure what is real anymore

☽☽☽ double identité ; comme deux faces d’une même pièce, l’une connue et l’autre invisible, comme la face d’une planète que l’on se surprends à ne voir qu’une fois tous les 248 ans, à l’image d’un Pluton perdu dans l’espace solaire. l’un est un gamin des rues, celui que tu prétends être, que tu t’imagines être. Ce gosse qui a toujours connu les rues de New York comme sa poche, qui a toujours salué le kebabier du coin et qui s’est toujours nourri des ragots d’en bas. la seconde, c’est celle que tu contemples sur les articles, sur les papiers journaux arrachés, les photos de famille qui te semblent si singulières, cette rockstar du patin à glace, au bras d’une demoiselle dont le nom n’est retenu que parce qu’il a été écrit cent fois pour le retenir. tu comprends pas vraiment. t’as construit une histoire pour tous ceux qui te la demandent, mais même celle-là, t’es pas si convaincu qu’elle ait du sens. ☽☽☽ gamin dans un corps d’adulte, pas assez de sagesse pour se croire invaincu mais qui voudrait croire que tout New York pourrait lui appartenir s’il se donnait l’effort de le faire. les poings parlent aussi bien que cette empathie creusée qui fait de toi une épaule de douceur sur laquelle on pleure et on parle, sans savoir que c’est ce qui te garde sain, qui te garde loin des douceurs moins subtiles et plus psychédéliques que tu passes sous la langue avec une rasade ambrée pour faire passer l’amertume. tempérament creusé dans les soirées où les flashs déconseillent la présence d’épileptiques, tu te noies entre les valses rock’n’roll sur lesquelles tu chantes et les basses techno qui font vibrer un corps qui te semble si peu familier, dans lequel tu doutes parfois être ne serait-ce que né.

« I stopped believing. I stopped giving a shit. But I still do. I still fucking do. »

☽☽☽ cheville perdue, carrière enfouie sous les flashs, c’est ce que tu vois derrière les journaux abîmés et la douleur lancinante qui se traîne sous les jours de pluie. tu regardes encore les grands titres, et tu comprends toujours pas ce qu’il s’est passé. un jour tu semblais être en haut, représentant patriotique d’un pays dont tu n’as aucun souvenir, immigré pour pouvoir progresser, pour viser plus haut, et aujourd’hui, tu es là, à valser entre mauvais trips et clients désagréables en fin de nuit. entre les costards de Wall Streets et les gamines bourrées de fin de soirée, t’écoutes les histoires et tu t’imprimes de celle-ci, comme pour monter une nouvelle embrouille quand tu en auras marre de voir tout en noir. Pas foutu de te souvenir des grandes lignes des gens, c’est les petits détails qui marquent ta mémoire. Une cicatrice, un tatouage, la couleur d’une robe, l’heure de la prise de contact, le montant de la course, te revoilà sur la route avec des milliards d’images dans le crâne. ☽☽☽ arracheur de dents dans le langage et sourire charmant quand il s’agit d’entraîner un énième corps dans une valse à deux, à trois, à quatre, qui voudra bien de toi de le soir. toujours à la conquête d’un corps, d’une histoire, de quelque chose à dire, de quelqu’un qui pose les yeux sur toi. amoureux des détails, d’un simple mouvement de lèvres pour te dire trois mots, tu noies l’attention comme tu noies le sommeil dans ton travail. tu dormiras quand tu seras mort et même si tu te sens affamé par le manque de gens et d’histoires à imprimer pour quelques heures, le silence te paraît aussi doux qu’une prison dorée dans laquelle les idées noires mûrissent en entailles sur les poignets. Mauvais trips et overdose d’angoisse, tu t’es déjà imaginé en finir pour ne plus supporter le fardeau de cette mémoire et des flashbacks d’un corps qui te semble si loin de toi. Alcool joyeux, drogue malade, tu navigues en deux eaux, avec cette addiction qui colle à la peau, ça t’empêche pas de sourire, ça t’empêche pas d’être là, tu sais juste pas très bien de quel côté tu penches, à trop t’en faire des autres, t’oublies que t’es là.

« I watched when blood was runing down my arms like red crimson pools, and I still didn't know what I was supposed to do to help me feel better. »

☽☽☽ à trop croire les histoires, tu vois bien où ça t’a mené toi, avec tes quinze mille post-it collés par ci par là dans un appartement aussi bordélique qu’il est organisé, avec ton chat et ton chien comme compagnons de voyage, ceux-là t’es sûr qu’ils sont à toi, c’était ton choix, tu t’en souviens bien. mais ça, c’est p’t’être parce que c’est noté sur un post-it, ou que les papiers d’adoption sont planqués à côté du certificat de décès que t’expliques du dernier travail dont tu te souviens, au milieu des nombreuses aventures professionnelles qui t’ont conduit ici. barman, caissier de nuit, gardien d’immeubles, serveur, éboueur aussi, et puis, corbillard. c’était marrant, ça, en rétrospective. t’as rencontré un joyeux luron qui était pas vraiment mort, tu sais pas trop pourquoi, tu te dis que lui aussi il finira avec un certificat de décès qu’il expliquera d’une connerie trop alcoolisée, d’un retour à la vie parce que la redescente s’est finalement faite. après tout, aujourd’hui, les drogues, ça fait n’importe quoi, ça donne même la peau de serpent et l’impression d’être dieu. ☽☽☽ mais toi la religion, t’y crois pas. ça te dépasse un peu. peut-être trop pragmatique pour envisager que les réincarnations existent, ou trop athéiste pour imaginer qu’il y ait eu quelqu’un là haut ou en bas - qu’importe après tout - pour guider le troupeau de brebis galeuses que vous êtes. pour toi, ça marche pas, ça concorde pas, ça fait pas sens. pourtant, tu devrais jeter un oeil autour de toi, tu comprendrais peut-être mieux, mais t’en fais rien, tu laisses couler. tu crois au Rock et aux vibrations colorées de musiques néonisées, tu crois à ce qui se touche et ce qui se sent, aux sens et aux instincts. c’est peut-être pour ça que t’es si souvent dans la merde, à trop courir sur le haricot des autres avec ton caquet jamais fermé, t’espères peut-être que c’est pour marquer les autres quand t’as pourtant pas grand chose à raconter. non, en fait, c’est juste pour l’adrénaline et les bêtises. ça te sauve pas la mise, mais ça te donne quelques détails pour une histoire que tu ne veux pas mensonge, mais qui est jamais totalement vraie parce que t’arrives pas à te souvenir de la grande plotline qui existait avant qu’elle parte.

« Maybe I was made to forget ? »

☽☽☽ T'as pas peur du sang, t'as pas peur des armes, des balles qui fusent et des poings qui tachent, des bruits trop sourds et des anévrismes distribués à chaque coup d'envoi d'une énième bagarre. T'aimerais à dire que t'es du genre pacifique, que toi la guerre tu l'observes de loin. Mais ton appétence pour le chaos a toujours rendu difficile la possibilité d'être neutre, complètement blanc face aux hostilités carmins qui se passent dans les rues. T'enchaines les batailles comme un gentil soldat, te laisse guider et malmener comme si t'avais pas ta place, tu l'as jamais demandé faut dire. Certains parlent de grimper dans la hiérarchie, de prêter allégeance, à l'un à l'autre, toi ça t'intéresse pas. Les jeux politiques sont comme les monopoly, au bout de trois heures on commence à en voir le tour et à s'ennuyer des mêmes discours et prétexte pour piller la banque. Tu préfères te servir, attendre ton tour, la piller toi-même quitte à finir derrière les barreaux pour une nuit. T'as pas l'âme d'un patriotique, et tu te souviens pas de la dernière nuit que tu as passé sans toucher le révolver sous le matelas de ton lit par sécurité. La peur est insidieuse, comme toute créature faite de cauchemars et même si t'aimerais croire que les cauchemars restent dans l'antre onirique, t'en as assez vu sur ta peau soignée au whisky et à la vodka pour comprendre que c'est pas le cas. La réalité est fragile, c'est pour ça que tu sais plus vraiment qui tu es, que tu peines à ne pas mélanger cette personne sur les post-it et celle qui s'égare dans les ruelles et les gangs aux heures mortelles de la nuit. Celles qui disent que le mauvais rivage t'emmène vers la fosse dont on ne revient pas. ☽☽☽ hoodie up, little soldier, c’est ce que tu te dis quand tu regardes ton reflet dans le miroir en espérant pas y voir un cadavre, celui-là même qui s’est réveillé entre conscience et inconscience, dans un coma vertigineux sans savoir si ton corps suivrait. Nuit profondément noire, faim tonitruante, tu ne te souviens pas vraiment de tout, t’arrives pas à replacer les pièces du puzzle, comme s’il manquait encore le dénominateur commun qui mettrait de la clarté sur le chemin. Souvenirs brouillons d’une soirée qui a mal finie, un bad trip sous anxiolytiques et des couleurs trop chatoyantes pour être prises comme telles. Il y avait du sang partout, sur tes poignets, sur tes cheveux, sur ton visage, le regard de quelqu’un qui voulait partir mais qui n'a pas réussi, qui ne voulait pas revenir et qui a sauté le pas malgré lui. Le reste est flou, confus, perdu dans les limbes d’une mémoire qui ne devrait pas être aussi entachée, dans les effluves de liquides et de pilules supplémentaires, comme si ton organisme pouvait en avoir encore besoin. Le chemin jusqu’à chez toi, jusqu’à un retour normal des choses, tu ne t’en souviens pas, il était juste douloureux, les jours suivants aussi, comme un sevrage en pleine mer, comme si tu tombais dans l’abysse. depuis, tu traces ton chemin en espérant trouver de la légitimité à tes mots, à l’existence à laquelle tu te complais sans être sûr qu’elle est la tienne, à regarder le monde tourner sans savoir de quoi demain sera fait. Petit tournesol perdu dans une comédie sans rires, dans un tableau sans couleurs, dans un paysage sans soleil, dans une tragédie aux allures gréco-romaines sans l’appétence de ces derniers. Alors, noie-toi dans les histoires, noie-toi dans le déni qui te colle à la peau, noie-toi dans les sentiments ressentis avec trop de force jusqu’à ce que tu coules. Noie-toi jusqu’à arrêter de broyer du noir.

« I hated it here, at first. I wasn't comfortable living this life. But now...? I think I'm okay with it, with the part of it that isn't too bad. This world's made of assholes anyway, you just gotta go with the flow and be one as such. »
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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Dim 27 Fév - 22:52
Citation :
entre l'envie d'embrasser et celle de mettre une droite

Quel mood. tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3102607846

Ben Barnes. Puis le prénom Cassandre. Puis patineur. Et chauffeur de taxi. Et Muninn.

Tout ça c'est si bien c'est indécent tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  2391721700 mais je vais ptet pas citer toute la fiche même si je devrais Arrow

Bonne fin de fiche bg et bienvenue sur le fo tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  194713239
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Thomas Macauley

Thomas Macauley
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Incarnation : 27/02/2022
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tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  Tumblr_o6kjenmtRz1u6v0mfo2_r1_250

Espèce : dieu incarcéré dans les entrailles de l'humanité, un corps bien faible pour l'être supérieur qu'il est.
Saisons : quarante-six printemps.
Occupation : avocat tombé en déchéance, désabusé. commis d'office sans passion pour son métier, totalement désabusé par ses dossiers.
Myocarde : déserteur marital, cœur sans courage. a fuit devant la maladie de sa femme pour courir dans les bras de son amant, écho.
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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Dim 27 Fév - 23:40
je meurs, je vois changer ton avatar au rythme de mes lectures et relectures de ta fiche. le personnage est juste ouffissime, tout comme le choix de créature. l’empathie lui va tellement bien tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3997832887 c’est tout beau, tout en retenue.

bon courage pour la suite et hâte de te croiser en rp, beau petit corbeau !
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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Mar 1 Mar - 1:25
@Amber Moor n'est-ce pas tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  351924414 que hâte qu'on se castagne, qu'on se hurle dessus et qu'on s'aime quand même tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  4071187565

nan bah en vrai, tu sais que je suis vraiment trop contente que Cassandre te plaise et que tu aimes mes lignes tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1756380782

donc merci beaucoup chat, you're a sweetie tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3997832887

hâte qu'on fasse de grandes choses (conneries) ensemble inrp tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  842363267 tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3997832887

@Thomas Macauley la magie des piles d'avatars pour les avoir en random, la plus grande découverte de ma vie de rpgiste : ne plus avoir à choisir parmi tous les avatars que j'aime tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  194713239

mais merci beaucoup pour tous ces gentils mots, ça me va droit au coeur, vraiment tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1756380782 ça me touche beaucoup qu'il soit autant apprécié, le petit corbeau tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1756380782

merci beaucouuuup en tout cas, et j'espère qu'on pourra se trouver un pitit lien pour se croiser inrp, monsieur le roi des enfers ! tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  2973425345
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Charles Abagnale

Charles Abagnale
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tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  822deba89a01140cdc06494dbcab7130

Espèce : scylla
Saisons : trentaine
Occupation : squatteuse, médecin en carton pour le clan gansevoort
Myocarde : dans le fond de son gosier
Allégence : vote à gauche
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pseudo: dionysass/marine
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inventaire: bouteille de vodka (1) ; verre à shot (1) ; pansement usagé (2)
préférences de rp: à l'inspiration (je fais des rps de 300-500 mots pour la rapidité)
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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Mar 1 Mar - 12:52
SMARTCASS jsuis hyper déçue de pas y avoir pensé tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1363854200

si ton signe est en vierge, ton ( cœur est en balance )

arrête de trainer avec l'autre fana de l'astrologie tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3704337025

je fais la maligne et tout mais en vrai jsuis shook devant la plume et le personnage alors BON
omfg un ancien patineur ?
j'ai envie de commenter absolument tout de ta fiche là tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  4098436257
mais je vais garder un peu de bonnes surprises pour ta validation de bg tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1458823147
BIENVENUE ICI tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1391075213
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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Mar 1 Mar - 23:12
@Charles Abagnale je jette la faute à @Amber Moor, c'est elle qui a eu l'idée de Smartcass tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  351924414

écoute j'y peux rien s'il me fout ses trucs astrologiques sous le pif moi tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3102607846

ezojfmoizjmeoij je suis trop contente que le personnage te plaise autant et ma plume aussi, ça fait trop plaisir tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3997832887 merci beaucouuuuup tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1391075213

merciiiiiiiii et hâte que tu me jettes dans la rivièèèèère tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  194713239 tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3997832887
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Charles Abagnale

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Sujet : Re: tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs ☽ ( cassandre )      Mer 2 Mar - 11:02

tu es validé·e !

bienvenue sur GWF !


tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  2617115529 tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  2617115529 tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  2617115529
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ce personnage mon gars
j'étais curieuse de comment tu allais faire/allais tourner le côté amnésique et en vérité je suis AU SOL c'est si bien utilisé, si bien amené ?
finalement Charles elle va le lancer sur une patinoire tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  3704337025
puis tous les petits détails, le diplodocus (j'exige d'avoir le nom de la peluche.), les post-it, la description de son retour, son côté amoureux tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1756380782
je l'aimais déjà tellement avant mais là c'est encore PIRE
vraiment tu me vends du rêve; toute l'esthétique de la fiche aussi, les quotes, tout. Tout en fait je sais même pas pourquoi je précise bordel de cul tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  960818508 tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  2620240181
bienvenue dans ta nouvelle maison tableau sans couleurs, symphonie sans notes, il y a plus beaucoup de toi dans cette vie sans souvenirs  ☽ ( cassandre )  1391075213


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